L’Union européenne (UE) et l’Inde ont récemment intensifié leurs relations en vue de conclure un accord de libre-échange d’ici fin 2025. Cette initiative s’inscrit dans un contexte mondial marqué par des tensions commerciales croissantes, notamment avec les États-Unis. Une visite à New Delhi de la présidente de la Commission européenne, accompagnée de 21 commissaires, les 27 et 28 février, a permis de renforcer ces discussions avec le Premier ministre Narendra Modi.
Le 24 février 2025 marque la troisième année de guerre depuis le début de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie. A cette occasion et afin de redire le soutien de l’UE à l’Ukraine, plusieurs hauts représentants européens, dont la Présidente de la Commission européenne , le Président du Conseil européen et plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement, se sont rendus à Kiev. Plusieurs annonces sur de nouveaux soutiens financiers ont été faites. La Commission a également présenté un nouveau paquet de soutien pour le système énergétique ukrainien qui permettrait à l’Ukraine de rejoindre pleinement le marché européen de l’énergie.
Dix États membres de l’Union européenne, dont la République tchèque à l’initiative, ont présenté un plan visant à intégrer progressivement l’Ukraine et la Moldavie dans le marché unique européen. Cette proposition, formulée sous la forme d’un document informel (dit « non paper »), a été présentée le 28 janvier aux ministres des Affaires européennes lors du Conseil « Affaires générales » des Vingt-sept.
Les objectifs du commissaire européen à l’Energie et au Logement, Dan Jørgensen, seront de concilier la sécurité d’approvisionnement énergétique, la compétitivité des acteurs européens et la décarbonation du continent. Il devra faire baisser les prix de l’énergie et lutter contre la précarité énergétique et la crise du logement. Ses missions s’inscrivent dans la continuité du Pacte vert.
Le 11 décembre, la Commission a publié une communication visant à aider les pays de l’UE à lutter contre les menaces hybrides et à renforcer la sécurité aux frontières extérieures de l’UE dans le cadre notamment des tensions existant aux frontières avec la Russie. Elle inclut dans les menaces hybrides « l’instrumentalisation des migrants » et accepte la mise en oeuvre de dérogations pour limiter le droit d’asile, ce qui a fait réagir des députés européens comme des associations de défense des droits humains.
Le 19 novembre 2024 a marqué le millième jour de l’invasion russe en Ukraine. A cette occasion, l’UE a réaffirmé son soutien envers le pays, même si des débats persistent sur la manière de parvenir à la paix. Un soutien à l’Ukraine efficient et réaffirmé de la part de l’UE. Le 19 novembre a été marqué par le …
Depuis le début de la guerre à grande échelle en Ukraine, des voix s’élèvent régulièrement pour appeler à un plus grand effort européen dans le domaine de la défense. L’élection de Donald Trump en novembre dernier a encore renforcé la nécessité de réagir rapidement pour l’UE. Plusieurs actions ont pourtant déjà été mises en œuvre depuis 2022. Dernièrement, la Commission a même accepté de financer cinq projets transfrontaliers dans le domaine de la défense via l’instrument Edirpa.
Le 30 octobre, la Commission a adopté et présenté le paquet d’élargissement pour l’année 2024. Ce paquet fournit une évaluation détaillée de l’état d’avancement et des progrès accomplis par les pays candidats.
La présidente de la Commission européenne a inauguré le bureau d’innovation de défense le 20 septembre, en présence du directeur général Timo Pesonen, lors de sa huitième visite à Kiev (Ukraine). Le bureau a commencé ses activités au cours du mois.
Les députés européens ont soutenu lors de la session plénière à Strasbourg, le mardi 17 septembre, la nécessité de mettre fin à la guerre en Ukraine mais restent divisés sur la manière d’y parvenir.
